Le Littré (1880)
AFFAINÉANTI, IE (part. passé et adj.)[a-fè-né-an-ti, tie]
Devenu fainéant.
• Ils parlaient dans ces lettres en vrais étourdis, et y traitaient le roi [Louis XIV] de gentilhomme campagnard affainéanti auprès de sa vieille femme (M. L. M. D. L. F. Mémoires, p. 261. Amsterdam, 1734)
Mot très bon et à employer.