Le Littré (1880)
AFFRONTEUR, EUSE (s. m. et f.)[a-fron-teur, teû-z']
Qui trompe.
• Et ainsi, c'est vous qui êtes l'affronteur (BALZ. Liv. VII, lett. IV)
• Un affronteur public (D'ALEMB. V, 221)
• Voilà comme vous faites, bons affronteurs, vous ordonnez souvent les choses à tort et à travers (HAUTER. Crispin M. III, 12)
ÉTYMOLOGIE
Affronter ; bourguig. efronteu ; provenç. afrontier.
SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE
AFFRONTEUR. Ajoutez : - HIST. XVIe s.— Par quoy nul homme de bon esprit ne doit croire tels affronteux (PARÉ X, 32)