Le Littré (1880)
ÉPIEUR, EUSE (s. m. et f.)[é-pi-eur, eû-z']
Celui, celle qui épie, qui observe.
HISTORIQUE
XVe s.— Ruffien, mourdeur et larron, Espierres qui bien sçavez Aler es bois, où il fait bon Desrober.... (EUST. DESCH. poésies mss. dans LACURNE)
XVIe s.— Espieur de chemin [voleur] (COTGRAVE)
ÉTYMOLOGIE
Épier 2.