Le Littré (1880)
ÉTAYÉ, ÉE (part. passé.)[é-tè-ié, iée]
• Le château étayé en plusieurs endroits menaçait ruine (LESAGE Gil Blas, v, 1)
Fig.
• De cent peuples rivaux ce colosse étayé [l'empire de Rome] Va bientôt de sa chute épouvanter le monde (SAURIN Spart. I, 1)